Un son, une chanson, mon coeur bat si fort... J'en bois les paroles, j'absorbe son rythme, mon corps tout entier bouge. Une euphorie de soirée, je vacille. Tout le long, cette chanson me transporte. Ce bonheur se rompt au moment où l'on change de chanson. Finit cette ivresse de folie. Je m'enfuis, je cours à la recherche de la joie perdue. Je cours sans m'arrêter. Je me stoppe un instant. J'observe le ciel. Mais quelle beauté, je tourne, je tourne, la lune, elle aussi, je finis par basculer dans l'herbe fraichement mouillée. J'observe cette magnifique lune. Elle éclaire ma nuit. Je reste les yeux écarquillés à la regarder. Et enfin l'innimaginable se produit: le jour se lève et mon amie céleste disparaît. Je me lève brusquement. Je cours, je cours. Ma vie est faite de joie et de recherche de ce bonheur perdu. C'est un cycle infernal, comment stopper cela? Accepter la tristesse pour enfin trouver un bonheur infini.insomnies.envoutantes
fraicheur d'été - c'est une habitude deletère d'etrangler ceux que l'on prefere - nitroglycerine
Dimanche 18 janvier 2009 à 20:06
Un son, une chanson, mon coeur bat si fort... J'en bois les paroles, j'absorbe son rythme, mon corps tout entier bouge. Une euphorie de soirée, je vacille. Tout le long, cette chanson me transporte. Ce bonheur se rompt au moment où l'on change de chanson. Finit cette ivresse de folie. Je m'enfuis, je cours à la recherche de la joie perdue. Je cours sans m'arrêter. Je me stoppe un instant. J'observe le ciel. Mais quelle beauté, je tourne, je tourne, la lune, elle aussi, je finis par basculer dans l'herbe fraichement mouillée. J'observe cette magnifique lune. Elle éclaire ma nuit. Je reste les yeux écarquillés à la regarder. Et enfin l'innimaginable se produit: le jour se lève et mon amie céleste disparaît. Je me lève brusquement. Je cours, je cours. Ma vie est faite de joie et de recherche de ce bonheur perdu. C'est un cycle infernal, comment stopper cela? Accepter la tristesse pour enfin trouver un bonheur infini.Samedi 31 janvier 2009 à 19:13
Je tiens à preciser que les phrases qui vont suivre ne sont pas une vision pessimiste de la vie et de l'être humain mais juste une constatation. La fin est un peu confuse, je l'avoue mais je ne voyais pas comment le dire autrement.
On est toujours en quete d’un idéal
Afin de contenter notre conscience
De nous dire que tout est parfait, que le monde est beau, le monde est gentil
Mais on finit par se rendre compte de la betise de cela, à nos dépens
On croit tout connaître de la vie, tout savoir sur nos amis, nos proches
Et pourtant on ne connaît en realité que la face cachée, sans même chercher à apercevoir le revers de la médaille ; c’est pour cela qu’il y a peu de gens autour de nous sur lesquels on puisse se fier reellement.
Malgré nos efforts pour rester naturel on a tous une face cachée en nous. Bien sur, certains sont plus hypocrites que d’autres, ce qui finit d’ailleurs par les détruire. On veut paraître meilleur, mieux dans notre peau alors que l’on ne l’est pas forcement. Ce qui est bizarre c’est que c’est en laissant une image plus ou moins fausse de nous meme que l’on se construit un « moi ». alors finalement le « moi » ne serait pas véritablement un « moi ».
Malgré nos efforts pour rester naturel on a tous une face cachée en nous. Bien sur, certains sont plus hypocrites que d’autres, ce qui finit d’ailleurs par les détruire. On veut paraître meilleur, mieux dans notre peau alors que l’on ne l’est pas forcement. Ce qui est bizarre c’est que c’est en laissant une image plus ou moins fausse de nous meme que l’on se construit un « moi ». alors finalement le « moi » ne serait pas véritablement un « moi ».